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Conseils de lecture

 

   « Manuel de l’intelligence économique en Afrique » – Stéphane Mortier – Ed. VA Press – Paru le 10 mars 2022 – 38 euros.
L’intelligence économique en Afrique peine à s’imposer. Le concept est souvent mal compris ou mal interprété, ce qui induit une mise en pratique erronée, inefficace voir contre- productive. Une tentative de clarification conceptuelle est indispensable pour comprendre les enjeux auxquels est confronté tout un continent. Énergie, droit, conformité, cybersécurité, changements sociétaux, sécurité… sont autant de sujets relatifs à la sécurisation du climat des affaires, au développement des acteurs économiques, à l’accroissement de puissance des États et des organisations régionales. Ce Manuel se veut un point de départ vers une culture africaine de l’intelligence économique, inspirée de l’existant certes, mais surtout empreinte des réalités, des cultures et des savoirs africains.

 

    “Relocalisations: La solution de l’Afrique” – Pages 18 à 20 – Le Mag 21 – CIAN – Laurent de Saint-Périer.

https://www.forum-afrique-2021.fr/rapport-cian/#page=18

 

   «La stabilité de l’Afrique garantira la stabilité de l’Europe et vice versa» – Patrice Anato – 29/05/2021

https://www.financialafrik.com/2021/05/29/patrice-anato-depute-francais-la-stabilite-de-lafrique-garantira-la-stabilite-de-leurope-et-vice-versa/

 

 

« L’Afrique est l’avenir du monde » – Carlos Lopes – traduit de l’anglais par Cyril Le Roy – Ed. du Seuil, Mars 2021 – 250 pages, 22 euros.

L’économiste Carlos Lopes analyse les atouts et les handicaps de l’Afrique. Il décrit une situation économico-politique complexe et les défis que devra relever l’Afrique pour aboutir à un développement harmonieux.

 

   “Making Friends, Building Roads: Chinese Entrepreneurship and the Search for Reliability in Angola” – Cheryl Mei-ting Schmitz – Mai 2021.

Sur la base d’un travail de terrain mené en 2013-2014 avec une entreprise de construction appartenant à l’État chinois de niveau provincial, cet article examine comment les entreprises chinoises ont tenté de se développer au lendemain d’une période florissante de reconstruction angolaise d’après-guerre. Les entrepreneurs chinois ont découvert que les affaires ne pouvaient se faire qu’avec l’aide de médiateurs locaux promettant d’ouvrir des portails autrement inaccessibles à l’opportunité politique. Dans un climat général de méfiance, la « fiabilité » est apparue comme une qualité nécessaire à la construction de relations d’intérêt mutuel et d’exploitation.